Les familles, vers une définition édifiante

Édité par Reynaldo Henquen
2024-05-15 12:08:09

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La Havane, 15 mai (RHC) Parfois les définitions ne suffisent pas ; Il y a des sens qui débordent, car ce qu’on veut dire est toujours plus que ce qui est dit. Les Nations Unies assurent que la famille constitue la cellule de base de la société et il n'y a généralement aucune dissidence sur cette question.

Mais les familles – reconnues dans leur pluralité et leur diversité, telles qu'elles existent – ​​constituent ce pilier, précisément à cause de tout ce qui n'est pas inclus dans cette phrase et qui les définit : les mots prononcés et les caresses données, les aliments cuisinés au rythme de les histoires, les rêves voilés, l'assistance dans la maladie et dans l'innocence de l'enfance ou de la fin de la vie.

Les familles sont donc l'affection et les soins, ainsi que les croyances et les valeurs qu'elles transmettent et transforment. Et ils maintiennent le tissu social uni, même au-dessus des diasporas. Sans famille, il n'y a pas de tradition ni de culture.

Cada 15 de mayo, el Día Internacional de las Familias apela a «crear conciencia sobre el papel fundamental de las familias en la educación de los hijos desde la primera infancia, y las oportunidades de aprendizaje permanente que existen para los niños y las niñas y los jeunes".

Cette année, l'ONU l'a consacré à la sensibilisation à l'impact du changement climatique sur les familles et au rôle qu'elles peuvent jouer dans l'action climatique.

Les arguments en faveur de cette décision sont convaincants : responsabiliser les familles grâce à l’éducation permettrait un changement des habitudes de consommation et une sensibilisation. Les familles, a-t-on expliqué, « en tant que consommatrices et militantes, peuvent diriger la transition vers une économie circulaire ».

À travers cette réflexion, nous revenons au rôle des familles comme axe du fonctionnement social, et à la nécessité que leur rôle occupe une place dans les agendas politiques et juridiques.

Ce n'est pas en vain que la Constitution cubaine et le Code de la famille ont pris soin d'exalter ces cellules, garantissant qu'elles ont les mêmes droits et devoirs quelle que soit leur composition ; et ils ont pour objectif qu'ils soient des sources, non pas de perpétuation de stéréotypes, mais des espaces libres de discrimination et de violence, et où la dignité humaine se rapproche sans cesse de la plénitude.

Que dans la définition des familles il y ait de plus en plus de ce qui est exaltant doit être le but suprême de tout projet national et personnel qui les implique. (Source : Granma)



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