Photo : Isis María Allen
Auteur : Isis María Allen
La Havane, 22 mai (RHC) Les membres du projet HATUEY, coordonné par Gloria la Riva, sont pour la plupart des jeunes qui se trouvent actuellement à Cuba pour remettre un don de médicaments et d'autres fournitures aux hôpitaux qui s'occupent des enfants atteints de cancer dans les villes de La Havane, à l'ouest, et de Santa Clara, dans la région centrale du pays.
Maya Leherr, l'une des membres du groupe, visite l'île pour la première fois, mais elle était consciente du besoin de médicaments pour les enfants. Elle a donc rejoint la campagne qui, depuis plus d'un an, comprend de nombreux événements de collecte de fonds et de dons.
Cette membre du Parti du socialisme et de la libération, qui dit venir d'un pays avec un "gouvernement composé de deux partis identiques, qui défendent les droits des riches, mais pas les nôtres", a déclaré qu'elle continuerait à accompagner Cuba et son peuple, dont elle a beaucoup à apprendre :
Des États-Unis, le pays qui, dans ses relations avec Cuba, cherche à asphyxier ses habitants par des pénuries de toutes sortes, provient l'aide humanitaire qui permet de surmonter les obstacles imposés par le blocus et qui donne lieu à des événements tels que ceux rapportés par Gloria la Riva, lorsqu'elle a essayé d'acheter de la farine pour Cuba.
Diffuser la vérité sur Cuba, ses besoins et ses défis sont également les objectifs du groupe de vingt membres de HATUEY qui se trouvent sur l'île et dont le président de l'Institut cubain d'amitié avec les peuples, Fernando González, a déclaré qu'ils étaient les meilleurs représentants des États-Unis.
Ils sont loin des discours rhétoriques qui prétendent aider le peuple cubain et vivent en persécutant ou en entravant même l'acquisition de médicaments pour les enfants.
Le projet Hatuey, qui signifie Health Advocates in Truth, Unity and Empathy, a également collaboré lors de la pandémie de Covid-19 et de la catastrophe causée par l'incendie de la base de superpétroliers de Matanzas, ainsi que lors du passage du cyclone Ian à Pinar del Río.
Eux, oui, ils sont nos amis.
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