Díaz-Canel se félicite du soutien apporté au retrait de Cuba de la liste des États-Unis

Édité par Reynaldo Henquen
2024-08-01 10:04:33

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Le président cubain a commenté la question dans son profil sur le réseau social X.
Photo : Archivo/Vladimir Molina

 La Havane, 31 juil (RHC) Le premier secrétaire du Comité Central du Parti Communiste de Cuba et président de la République, Miguel Díaz-Canel a remercié mercredi le soutien de 123 pays au Conseil des Droits de l'Homme de l'ONU qui ont exigé l'exclusion de Cuba de la liste arbitraire des États-Unis des États qui soutiennent le terrorisme.

Le dirigeant cubain a indiqué dans son profil sur le réseau social X que "nous sommes reconnaissants pour cette expression de soutien".

Les nations signataires du document considèrent que la liste "va à l'encontre des principes fondamentaux et des normes impératives du droit international, y compris la solidarité internationale".

La proclamation ajoute que "le processus de désignation sur la liste n'est ni clair ni transparent".

Elle note en outre qu'elle compromet "la réalisation et la jouissance des droits de l'homme fondamentaux, y compris les droits à l'alimentation, à la santé, à l'éducation, les droits économiques et sociaux, le droit à la vie et le droit au développement".

"Nos pays exigent l'exclusion de Cuba de la liste des États qui soutiennent prétendument le terrorisme, dont les effets renforcent le blocus économique, commercial et financier imposé par le gouvernement des États-Unis", souligne le rapport.

Il précise également que l'inclusion de la nation antillaise dans cette liste "provoque des conséquences négatives extraordinaires pour l'économie cubaine, en raison de son effet d'intimidation et de l'obstacle aux opérations économico-financières de tiers avec Cuba, par crainte de se voir infliger des amendes".

"Il entrave les possibilités d'accès du pays à la nourriture, aux médicaments, au carburant, à l'équipement médical et à d'autres biens de base, ce qui a un impact sur la réalisation des droits économiques, sociaux et culturels", ajoute le rapport.

Elle suggère également qu'"au lieu d'imposer des mesures coercitives unilatérales contraires au droit international", la solidarité et la coopération internationales devraient être encouragées pour faire face aux défis communs, protéger les droits de l'homme pour tous et atteindre les objectifs de développement durable. (Source : Prensa Latina)



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