Caracas, 18 juillet, (RHC/PL).- Vicente Rangel, ex-ministre vénézuélien des Affaires étrangères, a déclaré que la Table de l'Union Démocratique, coalition de l'opposition, esquive le dialogue politique avec le gouvernement.
« Elle dit accepter de s'asseoir à la table de négociations, mais elle met des conditions inacceptables, voire insensées. Conditions qui révèlent qu'en réalité elle se refuse nettement aux pourparlers » a souligné José Vicente Rangel dans sa colonne du journal Ultimas Noticias.
Il écrit qu'alors que 80% des Vénézuéliens veulent une solution pacifique des problèmes, alors que le monde se prononce à l'unanimité pour le dialogue, les opposants ne le souhaitent pas vraiment.
«Ils estiment que le moment est venu d'en finir avec le gouvernement bolivarien » souligne José Vicente Rangel dans sa colonne El Espejo, le Miroir.
« C'est le mauvais calcul qui les a conduit, il y a 14 ans, aux tentatives de renverser le président Hugo Chavez» souligne l'ex-ministre vénézuelien des Affaires étrangères.