Caracas, 17 février, (RHC).- Une vague de rejet des attaques contre le vice président exécutif du Venezuela, Tareck El Aissami, déferle aujourd'hui sur tout le territoire de ce pays sud-américain.
Le Département étasunien du Trésor a inclus Tareck El Aissami sur une liste de personnes liées au narcotrafic et lui a donc imposé des sanctions, à savoir le gel de ses comptes et de ses biens aux États-Unis. On dirait uen moquerie puisque le vice-président vénézuélien ne possède ni d'actifs, ni de propriétés aux États-Unis.
Des civils et des militaires ont rejeté à Anzoategui ces attaques. À Zulia, des centaines de jeunes se sont rassemblées devant le Rectorat de l'Université pour protester contre les accusations sans fondements lancées par Washington contre ce dirigent.
À Merida et dans la capitale, des meetings sont organisés pour protester contre ces attaques aux dirigeants vénézuéliens.