Les pays développés devraient supporter la majeure partie du financement.
Le nouvel accord remplacera l'objectif précédent de 100 milliards de dollars, qui a été atteint en 2022 avec deux ans de retard et qui expire en 2025, rapporte Reuters.
Le sommet de Bakou devait s'achever vendredi, mais il a été prolongé en raison de l'absence de consensus entre près de 200 délégations sur le plan de financement pour la prochaine décennie.
Les négociations ont aiguisé le débat sur la responsabilité des pays industrialisés de dédommager les pays pauvres, qui souffrent de tempêtes, d'inondations et de sécheresses en raison de l'utilisation de combustibles fossiles et de gaz à effet de serre.
À un moment donné, des représentants d'États moins développés et de nations insulaires ont protesté contre ce qu'ils ont décrit comme des tentatives des pays riches d'atténuer leurs obligations.
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