L'ancien président brésilien Luiz Inacio Lula Da Silva motivé par des raisons de poids a exhorté le monde capitaliste à abandonner la persécution idéologique contre Cuba, un pays confronté à ces attaques et qui, par conséquent, accueille avec gratitude les expressions de solidarité à son égard.
Lula, défenseur actif de la justice sociale, a abordé le sujet lors d'un forum qui a eu lieu récemment. Il s’agissait d’une Rencontre virtuelle de solidarité avec Cuba qui a réuni des politiciens, des intellectuels et des syndicalistes pour exiger la fin du blocus américain contre la nation caribéenne.
Ce n'était pas le seul signe de soutien pour la plus grande des Antilles ces derniers jours.
Le Réseau pour la Défense de l'Humanité a également manifesté contre le blocus américain, en récupérant plus de 3 900 signatures de personnes et de représentants de 56 organisations de 34 pays.
Cependant, selon l’opinion absurde des détracteurs de la Révolution, le modèle cubain, doit être banni, mais comme l'a bien signalé le ministre cubain des Affaires étrangères, Bruno Rodríguez, à Cuba personne n’est abandonné à son sort.
Comme l'a souligné le ministre des Affaires étrangères, l'impérialisme veut à tout prix détruire ce modèle, affectant son économie et sans jamais arrêter la persécution, les sanctions et les menaces contre notre pays.
Ces derniers mois, ils ont fait circuler une campagne nocive sur les réseaux sociaux avec des reportages fallacieux voulant montrer que la situation intérieure cubaine s'est dégradée à cause de la répression.
En ce moment, les médias dits indépendants, parrainés politiquement et financièrement par des organisations subventionnées par les États-Unis, tentent de présenter une société au bord d'une insurrection contre le gouvernement.
Les soi-disant grévistes appartenant à un mouvement prenant uniquement une ampleur sur les réseaux car il manque de soutien à Cuba, profitent d’une visibilité disproportionnée et d’une aura de chefs.
Selon les auto- proclamés médias alternatifs, entre les abus de pouvoir et les privations, la société cubaine serait un chaos.
Dans ce contexte, faire la vérité sur Cuba, comme cela a été fait lors de la récente Réunion de Solidarité ou une lettre a été signée exigeant la fin du blocus, constitue un acte de justice pour faire entendre une voix de transparence au milieu d'un rideau de fumée.