La Russie considère comme cruciale la participation des acteurs régionaux de poids comme l'Iran , lors de la rencontre qui débutera ses séances, d'abord dans la ville suisse de Montreux, le 22 janvier et ensuite le 24 à Genève.
Les États-Unis sont réticents à ce que l'Iran figure parmi les pays invités.
Le porte parole des Nations-Unies, Farhan Haq, a signalé que l'organisme mondial est favorable à la participation de l'Iran à la réunion sur la Syrie et qu'il a l'espoir qu'un consensus va être obtenu à ce sujet.
Sergueï Lavrov a regretté le manque de coordination et les divisions entre les forces anti gouvernementales syriennes, au sujet de la participation à la réunion internationale sans condition.