Bogota, 14 décembre (RHC)- La Cour Constitutionnelle de la Colombie a repris les débats sur le recours à la voie rapide pour aborder et promulguer les lois de la paix.
La voie rapide est considérée comme un facteur clé aussi bien par le gouvernement que par les FARC-AP, les Forces Armées Révolutionnaires de la Colombie-Armée du Peuple.
Cet organe colombien a siégé de façon extraordinaire afin de parvenir à une conclusion sur le recours ou non, par le congrès de la voie rapide ce qui permettrait d'analyser et d'expédier, en un temps inférieur à celui que prennent les procédures ordinaires, les normes et les réformes nécessaires dans l'étape actuelle, cependant, à la dernière minute il a décidé de proroger les discussions.
Après l'approbation par le parlement de l'accord de pais signé par le président Juan Manuel Santos et par le leader des FARC-AP, Timoleón Jiménez, il ne reste qu'à appliquer avec rapidité tout ce qui a été décidé pour éviter des reculs.