Nations Unies, 5 juillet (RHC)- Le Comité de l'ONU pour les Droits de l'Homme jugera le bien-fondé de la dénonciation de l'ex-président du Brésil, Luiz Inacio Lula Da Silva qui purge injustement une peine de 12 ans et 1 mois de prison.
Il est accusé à tort de corruption passive et de blanchiment d'argent.
Maître Geoffrey Robertson a confirmé que cet organe a rejeté la tentative du gouvernement du président brésilien non-élu, Michel Temer, d'arrêter la procédure de l'affaire.
Ce juriste a assuré que les autorités de ce pays sud-américain devront se défendre, sur le plan international, des allégations sur des violations du droit de Lula à la présomption de l'innocence et sur l'imposition d'un procès injuste par un juge partial.