Brasilia, 30 mai (RHC)- L'ancien ministre des Affaires étrangères du Brésil, Celso Amorim, a assuré que sans la libération de l'ex-président Luiz Inacio Da Silva, Lula, il n'y a pas de véritable démocratie dans le géant sud-américain.
Au sujet de la nouvelle politique extérieure de son pays, Celso Amorim a lancé une mise en garde contre le fait que le Brésil s'éloigne de la légalité, de la Constitution et de la république elle-même.
Le diplomate a mené, sous le gouvernement de Luis Inacio Da Silva, Lula, une politique extérieure qui a donné à son pays un rôle de protagoniste en tant que médiateur dans des conflits en Amérique Latine et dans d'autres régions du monde comme cela a été le cas de l'accord nucléaire avec l'Iran en 2010.