Le président Arce bénéficie du soutien majoritaire des Boliviens cinq mois après sa victoire aux urnes. Photo: PL
La Paz, 6 mars (RHC) Un sondage réalisé pour la chaîne de télévision privée ATB révèle que 55% de la population bolivienne juge l'administration du président Luis Arce bonne ou très bonne, et 52% considèrent que ses actions pour faire face à la pandémie sont meilleures que celles prises par le régime Áñez.
ATB a diffusé ce vendredi les résultats du sondagE mené par la société Q Social Now.
6% des personnes interrogées ont déclaré qu'elles "ne le connaissent pas", tandis que 15% ont estimé que l'administration d'Arce était "mauvaise" et 18% "très mauvaise".
En ce qui concerne le vice-président, l'enquête pose la question suivante : comment évaluez-vous la performance de David Choquehuanca en tant que vice-président de la Bolivie?
Les réponses indiquent que 18 % de la population le considère comme "très bon" et 40 % comme "bon". En additionnant les deux pourcentages, on constate que 58% des personnes interrogées soutiennent l'administration dE Choquehuanca.
La recherche a également demandé l'opinion des gens sur les vaccins avec la question suivante : "Après l'arrivée des 20 000 premiers vaccins russes, qu'en pensez-vous ?
36,3% ont répondu que "nous sommes sur la bonne voie", tandis que 22,7% ont indiqué que "nous sommes sur la bonne voie". En additionnant ces deux catégories, on peut conclure que 59 % de la population interrogée est favorable à la gestion des vaccins antiviraux.
En revanche, 24,8 % des personnes interrogées ont répondu que "nous ne sommes ni sur la bonne ni sur la mauvaise voie", tandis que 6,2 % ont estimé que "nous sommes sur la mauvaise voie".
Une autre mesure soutenue par la population consultée a été de fixer des limites aux prix des services médicaux, une mesure qui est incluse dans la loi sur les urgences sanitaires.
30% l'ont jugée "très bonne" et 34% "bonne", c'est-à-dire qu'en ajoutant ces deux aspects, on conclut que 64% de la population consultée soutient la détermination des limites de la redevance pour les services médicaux établies par la loi sur les urgences sanitaires.