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La Paz, 18 fév. (RHC) La Bolivie a réduit l’extrême pauvreté de 38,2% en 2005 à 11,1% en 2021 après avoir rompu avec les formules néolibérales, assure aujourd’hui un rapport du ministre de l’Economie et des Finances Publiques Marcelo Montenegro.
Le Modèle économique et social communautaire productif est le meilleur qui soit arrivé au pays, affirme le titre dans le texte distribué ce vendredi à la presse et approuvé précédemment à la majorité absolue lors d’un débat à l’Assemblée législative plurinationale (Parlement).
En ce qui concerne la pauvreté modérée, le rapport explique qu’elle est passée de 60,6 unités sur 100 à 36,3 pour cent au cours de la même période.
En ce qui concerne l’emploi, le texte indique qu’il est tombé d’un indicateur proche de 11,6 pour cent en juillet 2020 à 5,4 pour cent en décembre 2021, et le marché du travail enregistre plus d’un million 100 mille nouveaux emplois.
Montenegro explique que de nombreux Boliviens, jusque-là invisibles, peuvent maintenant avoir un meilleur avenir économique car ils sont insérés dans ce circuit.
Le texte ajoute que la défaite aux élections de 2020 du gouvernement de facto et le retour au pouvoir du Mouvement pour le socialisme ont permis de reprendre le modèle inclusif et la redistribution des revenus aux Boliviens par des actions sociales telles que les obligations, les revenus et les subventions, entre autres.
En même temps, ajoute l’écrit, il mise aussi sur la demande intérieure et sur cet axe figure l’investissement public comme un élément dynamisant de la gestion économique.
Selon le ministre, les revenus générés par l’État profitent à la population avec des bons tels que le Juancito Pinto, qui vise à accroître la scolarisation, à réduire l’abandon scolaire et à réduire la transmission intergénérationnelle de la pauvreté.
Il y a aussi le bon Juana Azurduy, créée en avril 2009 dans le but de réduire la mortalité maternelle et infantile et la malnutrition.
Les données montrent que le modèle a donné des résultats concrets en matière de bien-être, de réduction de la pauvreté, d’inclusion sociale et d’amélioration de la production, conclut le document.
Source Prensa Latina