Le groupe d'organisations de la société civile a considéré que le contexte était atypique en raison de la série d'actions entreprises par le ministère public contre le processus de vote, le Tribunal suprême électoral (TSE) et le Mouvement Semilla (Semence) dans la course politique.
Le candidat de cette dernière formation politique s’est avéré la grande surprise en remportant contre toute attente la seconde place lors du premier tour des élections.
114 incidents de violence électorale ont d’ores et déjà été enregistrés au Guatemala.
La violence a pris de l'ampleur entre le 25 et le 27 juin, avant, pendant et après le scrutin, avec 41 incidents de violence.
Source : Prensa Latina