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"Les coupures d'électricité n'ont pas permis le fonctionnement complet de la chaîne de production, compte tenu de facteurs tels que les complications liées à la socialisation et à l'organisation des calendriers de rationnement de l'électricité", a déclaré l'organisation.
Selon l'association, l'un des dommages les plus graves est la rupture de la chaîne du froid pour les produits qui nécessitent un refroidissement et une congélation pour maintenir leurs qualités de sécurité et de biosécurité, comme l'industrie de la crevette.
Fedexpor a également souligné que parmi les coûts associés aux pannes d'électricité figure la réduction des périodes d'entretien des machines dotées de connexions électriques.
L'Equateur a entamé le 27 octobre une nouvelle phase de coupures d'électricité qui sont dues non seulement à la sécheresse, mais aussi au manque de prévoyance et d'investissement dans le parc thermoélectrique pour répondre à la situation climatique, selon les experts et les autorités du nouveau gouvernement.
Le gouvernement du président Daniel Noboa a suspendu le rationnement pendant les fêtes de fin d'année en raison d'une "gestion technique efficace des réservoirs des centrales hydroélectriques", selon la ministre de l'Énergie Andrea Arrobo.
Cependant, les coupures d'électricité reprendront à partir de janvier 2024.
Source : Prensa Latina