Alexandre De Moraes n'était pas au Brésil le 8 janvier, mais à Paris, en France, avec sa famille, lorsque son fils lui a montré des images des extrémistes envahissant le Congrès national.
Il a d'abord appelé le ministre Flavio Dino, qui était à l'époque chargé de la justice et de la sécurité publique. Il s'est également entretenu avec le président Luiz Inacio Lula da Silva.
Lula et Dino ont discuté avec De Moraes de la possibilité d'une intervention fédérale ou de ce que l'on appelle la garantie de la loi et de l'ordre.
Selon le ministre, qui est en charge des enquêtes menées par
À cet égard, il a mentionné l'arrestation du secrétaire à la sécurité du district fédéral (DF) de l'époque, Anderson Torres, et du commandant général de la police militaire, Fábio Augusto Vieira, afin d'éviter un effet domino dans d'autres divisions territoriales.
Source : Prensa Latina