Dans un communiqué publié par son porte-parole, Stéphane Dujarric, le chef de l’ONU a condamné les actes criminels de violence commis par des groupes organisés qui ont conduit au décret de l'état d'urgence à partir du 8 janvier, une mesure qui comprend un couvre-feu de 23h00 à 05h00 (heure locale).
Antonio Guterres a également adressé un message de solidarité au peuple équatorien et l'a assuré de sa confiance dans le gouvernement de ce pays d'Amérique du Sud, qui saura faire face aux graves difficultés en prenant des mesures pour protéger et minimiser les souffrances de la population.
Cela passe par le respect des institutions démocratiques, des droits de l'homme et du droit international, a ajouté Stéphane Dujarric lors d'une conférence de presse.
Source : Prensa Latina