"Nous pouvons ne pas être d'accord avec ce qui se passe aux États-Unis, mais cela fait partie de la souveraineté des États-Unis. Que les États-Unis permettent aux Vénézuéliens de résoudre leurs problèmes par des moyens démocratiques", a indiqué le représentant du gouvernement pour le dialogue, Hector Rodriguez, dans des déclarations aux médias.
Mathew Miller, porte-parole du département d'État nord-américain, a déclaré que la décision de
"Sur la base de cette action et des attaques contre l'opposition et la société civile, les États-Unis révisent leur politique de sanctions", a-t-il indiqué via X.
La plus haute juridiction du pays a également confirmé la sanction contre Capriles, qui l'empêche d'exercer une fonction publique jusqu'en 2032.
Le chef de l’équipe négociatrice vénézuélienne a également dénoncé le fait que "l'opposition extrémiste" n'a pas cessé "de vouloir écarter le peuple vénézuélien de la voie démocratique".
Source : Sputnik news