Pour la commission de la sécurité intérieure, Mayorkas a commis des crimes et des délits graves dans sa gestion de la frontière avec le Mexique, malgré les critiques et les commentaires des experts constitutionnels, qui considèrent que les preuves sont insuffisantes pour aller de l'avant avec une telle mesure.
Il ne fait aucun doute que le vote et son adoption - qui pourraient avoir lieu dès la semaine prochaine - donneraient le coup d'envoi officiel de la procédure de destitution à l'encontre du fonctionnaire, à un moment où les différends relatifs à l'immigration et à la sécurité des frontières sont en train de devenir un sujet brûlant de la campagne électorale.
Si le vote aboutit, Mayorkas serait le premier membre du cabinet à être mis en accusation depuis 1876.
Source : Prensa Latina