Un communiqué rendu public à Caracas souligne que la campagne en question s’attaque à l'obligation constitutionnelle de l'État vénézuélien d'établir une politique globale, dans les zones frontalières terrestres, insulaires et maritimes, afin de préserver, par l'intermédiaire des forces armées, son intégrité territoriale, sa souveraineté nationale et la défense de la patrie.
Cette campagne n'est rien d'autre qu'une "ruse" pour échapper à la responsabilité qui lui incombe, compte tenu des déclarations scandaleuses de son Pdg, Alistair Routledge, qui, en plus de se substituer à la souveraineté du Guyana, a osé émettre des jugements menaçants.
Alistair Routledge s’est réjoui "de la présence de puissances militaires dans une mer non délimitée", où Exxon Mobil a reçu des concessions pétrolières illégales, dont certaines sont situées dans une zone maritime "incontestablement vénézuélienne".
Le Venezuela fait clairement savoir à
Le communiqué fait remarquer que ces actions violent les récents accords conclus à Argyle, Saint-Vincent-et-les-Grenadines, en décembre dernier et qu'elles s'ajoutent à la rhétorique provocatrice constante, accompagnée de déclarations récurrentes de la part des porte-parole du Département de
Dans son communiqué le Venezuela exhorte le Guyana à assumer ses engagements, en particulier ceux contenus dans l'accord de Genève de 1966, le seul instrument valable entre les parties pour trouver une solution au différend territorial sur le territoire de l’Essequibo entre les deux pays.
Source : Prensa Latina