La police a précisé dans un communiqué que les corps des victimes, dont deux mineurs, présentaient des blessures par balles.
Deux des tués avaient des antécédents judiciaires.
Citant des sources policières, la presse locale attribue le massacre à une vengeance.
Malgré l’état d’urgence décrété et rénové par le gouvernement du président Daniel Noboa, les violences prolifèrent en Équateur. Le taux d’homicides est passé de 6 pour 100 mille en 2018 à 43 pour 100 mille l’année dernière.
Sources : Plusieurs