Sur X, il a vu la grande participation à la grève comme une preuve de la grave situation que traverse l’Argentine et du rejet aux ajustements de l’Exécutif.
"Le gouvernement ne pourra pas imposer la peur comme cela s’est passé lors de la dictature génocidaire… Les mesures d’action se poursuivront si on ne nous donne pas de réponse", a-t-il souligné.
Source : Prensa Latina