Diana Salazar a fait ces déclarations dans une vidéo qu’elle a postée sur ses réseaux sociaux à la veille du procès politique intenté contre elle à l’Assemblée Nationale.
"Je crois que le moment est venu pour que le pays sache que lorsque Villavicencio a été assassiné, le contrat n’était pas pour une seule personne, nous étions nous deux. Lui, il a été assassiné et je crois qu’on tente d’accomplir cet accord", a assuré la procureure.
Au sujet du procès au sein du pouvoir législatif, elle a évoqué la faculté de l’assemblée. Mais elle l’a quand même qualifié de représailles contre sa gestion.
Elle s’est dite une victime de la violence politique et du racisme et elle a affirmé qu’avoir jugé de hautes autorités équatoriennes n’est pas un motif de fierté parce que c’est un signe de la situation du pays.
Diana Salazar a fait l’objet de maintes critiques pour la sélectivité et la partialité dans les cas à sa charge.
Elle s’est concentrée sur des figures du mouvement Révolution citoyenne, notamment sur l’ancien président, Rafael Correa, alors que d’autres dossiers restent au tiroir.
Source : Prensa Latina