Introduites par des élus de l’opposition, les motions en destitution partaient de graves indices de délits commis par la présidente.
Dina Boluarte est accusée d’avoir interféré dans les enquêtes sur les bijoux non inscrits sur son patrimoine et sur son frère Nicanor accusé d’avoir exercé son influence dans la nomination de fonctionnaires et des autorités locales.
La décision a empêché un débat à fond et la comparution de Dina Boluarte pour s’expliquer devant le Congrès.
Des élus de droite se sont accordés à signaler que les promoteurs de ces motions en destitution ne cherchent que le chaos et la division.
Source : Prensa Latina