Un communiqué diffusé ce mardi à Caracas précise que cela n’implique en aucun cas le consentement ou la reconnaissance de l’intervention de cette instance dans le différend frontalier sur l’Essequibo avec le Guyana.
Le communiqué explique que la réunion a été convoquée par le président de
Le Venezuela souligne que l’Accord de Genève signé en 1966 constitue le cadre normatif qui doit être respecté de bonne foi conformément au droit international dans le but "de mettre fin au différend territorial moyennant un arrangement pratique, acceptable et satisfaisant pour toutes les parties".
Le texte ratifie l’engagement ferme du gouvernement bolivarien de défendre l’intégrité territoriale et la souveraineté nationale sur l’Essequibo et appelle le Guyana à reprendre les négociations entamées en décembre dernier à Saint-Vincent-et-les-Grenadines.
Source : Prensa Latina