Petro nie tout lien de son cabinet avec les écoutes présumées de la Cour constitutionnelle
La Havane, 26 juin, (RHC)- Le président de la Colombie, Gustavo Petro, a réitéré mardi que son gouvernement n’encourre pas dans l’interception de communications, une pratique explicitement interdite.
Jorge Ibañez, magistrat de la Cour constitutionnelle, a dénoncé la semaine dernière, être victime d’écoutes illégales dans une lettre qu’il a remise au bureau du procureur général. Pour l’instant, il n’a pas pu fournir de preuves étayant ses allégations.
Gustavo Petro a indiqué sur le réseau social X qu’il faut éviter de croire aux ingénuités que construisent les groupes nazis.
Il a signalé que si le magistrat en question a reçu ce genre de messages, il est victime des groupes d’extrême droite qui cherchent à saper les relations personnelles à l’intérieur du gouvernement et aussi celles du gouvernement avec d’autres institutions de l’État. Source : Prensa Latina