"En tant qu’Etat nous avons pris du retard pour faire face à la situation car le débat public était centré sur d’autres questions", a admis Carolina Toha au cours d’une émission de télévision.
Se référant aux fusillades et massacres de ces derniers jours dans la région métropolitaine de Santiago du Chili, elle a signalé que ces derniers temps, ont été commis des délits d’une cruauté qu’on n’avait jamais vue avant au Chili.
Elle a annoncé des démarches pour le débat immédiat au Congrès d’un projet de loi d’infrastructure critique.
Source : Prensa Latina