Il a tout de même indiqué que 2 autres restent à disposition du ministère public à Bello, une localité du département d’Antioquia.
Dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux, un guérillero a affirmé que ses camarades détenus par l’armée étaient des membres de la délégation aux pourparlers avec le gouvernement national.
Il a estimé que l’incident mine la confiance et ce qui a été bâti entre les parties.
Selon Camilo Gonzalez, la caravane qui a été détenue pour un contrôle venait en effet d’une réunion connue par le gouvernement et se rendait à une rencontre pour discuter des questions liées aux transformations territoriales.
Source : Prensa Latina