"Vingt-sept procédures pénales ont été engagées, 26 à Santa Cruz et une à Beni", a précisé le directeur de l'Autorité bolivienne des forêts et des terres, Luis Flores.
Il a informé que le personnel de cette institution effectue le ratissage et le contrôle des brûlis étant donné qu'ils sont interdits de juillet à novembre.
Il a déploré que malgré le fait que deux individus aient été pris en flagrant délit d'activités incendiaires et en possession d'essence, un fonctionnaire du ministère public ait aidé la justice à ordonner leur libération.
Source : Prensa Latina