Dans une vidéo diffusée sur X, il déclare que le Parlement tente de censurer "la femme qui dirige la lutte contre le terrorisme".
S’adressant à ses détracteurs, le président Noboa a affirmé qu’ils font face à un gouvernement qui n'a pas l'intention de se cacher ou de reculer.
L’Assemblée Nationale a donné à la ministre un délai de quinze jours pour se défendre contre les accusations présentées par ses interpellateurs Leonardo Berrezueta et Paola Cabezas, législateurs du mouvement Révolution citoyenne.
M. Berrezueta fonde sa demande de destitution sur le rôle de Mme Palencia dans la descente de police à l'ambassade du Mexique à Quito le 5 avril, au cours de laquelle l'ancien vice-président Jorge Glas, à qui le gouvernement mexicain avait accordé l'asile politique, a été arrêté.
De son côté, l’élue Cabezas pointe du doigt la responsabilité de la ministre dans la crise sécuritaire que traverse le pays et l’inefficacité de la stratégie de lutte tracée contre la criminalité.
Source : Prensa Latina