Lors d'une réunion du Conseil de défense nationale et du Conseil d'État, le président a également exigé une justice sévère et précise de la part des agences de sécurité face aux crimes de haine, tels que ceux qui se sont produits les 29 et 30 juillet.
Le meilleur vaccin contre les crimes de haine et le fascisme propagé et stimulé par les réseaux sociaux "est une justice opportune, énergique et courageuse", a-t-il déclaré.
Il a rappelé que le Venezuela qu’il a qualifié de joyaux de la couronne pour l’empire, est à l'avant-garde de la lutte contre le fascisme, les courants néo-nazis et la tentative d'imposer un nouveau colonialisme.
Il a souligné que les alternatives sont très claires : colonialisme, esclavage ou indépendance et liberté.
Il a souligné que plus de 96 % des Vénézuéliens souhaitent la paix et exigent une justice sévère, tout en accusant les grands médias tels que CNN et les agences AP et EFE, ainsi que les réseaux sociaux, de servir de fer de lance contre la nation.
Nicolas Maduro a affirmé que face à la haine et au mensonge, il y a la vérité du Venezuela, et a assuré qu'ils ne livreront pas le pays ou ses richesses à l'impérialisme, et encore moins à "cette oligarchie fasciste, le pouvoir politique, parce que nous ne trahirons pas notre peuple".