Un communiqué de la présidence précise que l’investissement forcé ne constitue en aucun cas une expropriation, et que les montants des investissements forcés sont ensuite restitués aux banques, majorés des taux d'intérêt.
Les investissements forcés, explique la note, consistent à réorienter un pourcentage de l'épargne dans les banques vers des crédits à faible coût pour les secteurs productifs prioritaires de l'économie.
Le gouvernement actuel propose d'utiliser ce mécanisme dans quatre secteurs prioritaires pour la relance économique : l'industrie, l'agriculture, le logement et le tourisme.
Le communiqué de la présidence rappelle que cette stratégie a déjà été utilisée à plusieurs reprises pour promouvoir le développement de secteurs clés de l'économie, car elle favorise une utilisation plus efficace et plus équitable des ressources financières disponibles.
Source : Prensa Latina