Mardi, le président du Parlement, Jorge Rodriguez, a convoqué toutes les formations politiques qui ont participé aux élections présidentielles du 28 juillet à
examiner les dispositions approuvées par le pouvoir législatif telles que les lois organiques sur les partis politiques et les manifestations publiques, les processus électoraux et le pouvoir électoral.
Il a souligné que "l’initiative inclurait toutes les lois qui ont pour but ultime de s'occuper, de protéger la politique, mais surtout de s'occuper et de protéger la population vénézuélienne et notre territoire".
Il ne peut y avoir de conseiller, de député, de maire, de gouverneur ou de président qui appelle à la destruction et à la mort, a-t-il souligné.
Il a fait remarquer que l'on ne peut pas continuer à appliquer une loi sur les partis politiques "devenue obsolète à la lumière de notre époque".
Le parlementaire a souligné qu'il fallait cesser d'utiliser les instruments électoraux fournis par la démocratie vénézuélienne pour s'en prendre à celle-ci et à des vies humaines.
Se référant à l'ancien candidat à la présidence et réfugié politique en Espagne, Edmundo Gonzalez, Jorge Rodriguez a déclaré que l'aspiration est qu'aucun autre fasciste ne puisse plus jamais être un candidat ou un politicien qui appelle à des invasions, ordonne la pose de bombes ou se réjouit de l'assassinat d'hommes et de femmes humbles.
"Plus jamais un voleur, un apatride ou un fasciste ne sera candidat à un poste électif au Venezuela", a-t-il souligné.
Source : Prensa Latina