Une vingtaine de personnes ont été citées à comparaître par ce groupe sur la responsabilité présumée de la ministre dans la crise sécuritaire que traverse le Chili.
La veille, Carolina Tohá a qualifié la procédure de destitution d'inappropriée et a déclaré qu'aucun fait n'avait été présenté concernant une violation du système juridique.
Quant aux allégations des Républicains concernant l'absence de mesures efficaces pour prévenir les violations des frontières, elle a expliqué qu'il ne lui appartenait pas d'exercer des actions de contrôle, car le service des migrations est décentralisé et que cela reviendrait à enfreindre la loi.
Source : Prensa Latina