A l’ouverture du premier Forum parlementaire mondial contre ce fléau, dans l'État de Miranda (nord), il a mis en garde contre les conséquences d'une absence de réaction face à «l'un des pires fléaux qui frappent l'humanité».
Le fascisme n'est pas une idéologie politique, ce n'est pas une façon de gérer les contradictions sociales, politiques et économiques, mais un crime, a-t-il souligné devant plus de 300 délégués de 70 pays.
Il a rappelé qu'au nom du fascisme, le 20ème siècle a été ensanglanté, comme l'une des périodes les plus violentes vécues par l'humanité, avec des millions de morts en Europe, des centaines de milliers d'Asiatiques et des milliers de Latino-américains, sous des dictatures militaires dans notre continent.
Le président de l’Assemblée Nationale du Venezuela a souligné que le fascisme est l'outil auquel ont recours «ceux qui se considèrent comme les maîtres du monde, pour tenter d'éliminer toute forme de rébellion et de révolte, inhérente à la condition humaine».
Il s'agit, a-t-il souligné, d'un plan dans lequel ils enlèvent les vêtements des prétendues démocraties ou se démaquillent pour assumer directement ce qu'ils sont réellement: des meurtriers, des génocidaires, des assassins ou des personnes capables de niveaux extrêmes de violence.
Source : Prensa Latina