Au Brésil, le président Luiz Inacio Lula da Silva a remis en question ce plan.
"Ce qui s'est passé à Gaza est un génocide et, honnêtement, je ne sais pas si les États-Unis, qui font partie de tout cela, seraient le bon pays pour s'occuper de Gaza", a-t-il déclaré.
De même, Lula a rappelé que Washington "a encouragé tout ce qu'Israël a fait" dans ce territoire, notamment l'agression qui a fait plus de 47 000 morts et plus de 111 000 blessés depuis le 7 octobre 2023.
Pour sa part, le président de
"La base de cette guerre est qu'ils pensent être le peuple de Dieu. Le peuple de Dieu n'est pas le peuple blanc nord-américain, ni le peuple israélien, le peuple de Dieu est l'humanité tout entière", a-t-il souligné.
Interrogée sur le projet de Trump lors de sa conférence de presse matinale, la présidente mexicaine, Claudia Sheinbaum, a répondu que son pays reconnaissait depuis des années l'État palestinien et, en même temps, l'État d'Israël.
«C'est la politique du gouvernement mexicain depuis des années et maintenant, la nécessité de reconnaître les deux États et de construire une solution pacifique [au conflit] », a-t-elle souligné.
Le plan de Trump, qu’il a dévoilé mardi à l'issue de sa rencontre à
Son plan consiste à reloger les habitants de Gaza dans les pays voisins, notamment en Égypte et en Jordanie. Il propose également d'établir un contrôle nord-américain sur l'enclave.
Source : RT