Guatemala, 8 avril (RHC-PL)- La Coordination Nationale des Veuves du Guatemala a signalé que l'État a très peu avancé après la signature il y a 20 ans de l'Accord d'Identité et de Droits des Peuples Autochtones et elle a dénoncé le racisme régnant.
Dans un communiqué, l'organisation féminine indique que les gouvernements guatémaltèques qui se sont succédés ces deux dernières décennies n'ont pas donné la priorité à l'application de cet accord, car l'indifférence, l'exclusion, l'invisibilité, la discrimination et l'oubli se sont accentués avec le temps.
La Coordination Nationale des Veuves du Guatemala évoque aussi la lutte des milliers de femmes et d'hommes qui ont donné leurs vies et qui sont un exemple de lutte pour construire un pays où règne la pluralité et elle lance un appel à respecter la pensée, la pratique, et la façon de vivre des peuples autochtones.