La Paz, 6 février, (RHC).- Le président de la Bolivie, Evo Morales, a dénoncé la campagne diffamatoire de la droite locale contre lui et son gouvernement à la veille du référendum du 21 février qui devra décider de la modification ou non de la Constitution, lui permettant de présenter sa candidature à une 3è réélection en 2019.
Le chef de l'état bolivien a demandé au peuple de ne pas se laisser confondre avec ces mensonges. Il a fait savoir qu'il travaille à la promotion des investissements et de nouvelles entreprises pour favoriser le développement du pays.
Le président bolivien a rappelé qu'en 2002, avant d'être chef d'état, l'ambassade des États-unis à la Paz avait demandé au gouvernement en place de l'expulser du Congrès, d'ouvrir un procès contre lui pour ne pas lui permettre ainsi de présenter sa candidature à la présidence de la République. Il a rappelé que les mouvements sociaux et tout spécialement les paysans se sont mobilisés pour l'appuyer.