Dans des déclarations qu'il a faites à la presse, Evo Morales a rappelé que bien que Washington tente de détruire la Révolution Cubaine, les pays latino-américains et caribéens sont aux côtés de Cuba.
Le chef de l'État bolivien a rejeté les critiques faites par ceux qui ont accusé les participants au deuxième sommet de la CELAC, la Communauté des États Latino-américains et Caribéens qui vient de se tenir à La Havane, d'être anti-démocratiques.
Evo Morales a relevé que les États-Unis n'ont pas l'autorité morale pour parler de démocratie car ceux qui gouvernement en réalité ce pays ce sont les banquiers et les transnationales et pas le président Barack Obama, les démocrates et les républicains.
Evo Morales a également réaffirmé que le peuple cubain sait qu'il n'est pas seul ce qui a été démontré aux votes aux Nations Unies où la majorité des pays appuient la fin du blocus étasunien contre Cuba.