« Cette victoire, obtenue avec la libération du camarade Fernando González, nous engage à poursuivre la lutte pour que les 3 autres antiterroristes qui sont toujours victimes d'un emprisonnement cruel et inhumain soient libérés et rentrent à Cuba » signale un communiqué.
Le communiqué dénonce le deux poids deux mesures qui caractérise la politique de la puissance impériale car, en territoire des États-Unis, des organisations terroristes anticubaines trouvent du financement, de l'entraînement et du refuge.