Edgar González, chargé d'affaires du Venezuela à La Havane, a remercié le peuple cubain frère, de l'hommage rendu au leader bolivarien. Il a rappelé que celui-ci a attiré l'attention sur la diversité et qu'il a aidé à la formation de différents blocs intégrationnistes de la région.
Il a signalé :
«L'homme qui a divisé l'histoire du Venezuela en deux à partir du 4 février 1992. Cet homme qui nous a appris, aux hommes et aux femmes de bien, à vivre, à aimer, à rêver et à appuyer. Cet homme qui nous a appris avec dignité et avec courage que le meilleur chemin était l'éducation et l'inclusion.
Ana Teresita González Fraga, vice-ministre des affaires étrangères de Cuba a pour sa part signalé qu'Hugo Chávez est présent dans les efforts, toujours transcendantaux, pour consolider l'unité des peuples latino-américains et caribéens et la bataille interminable contre les injustices.
Elle a ajouté :
« Le Commandant Hugo Chávez a été non seulement l'artisan du processus bolivarien, d'une nouvelle époque de rédemption pour nos peuples latino-américains et caribéens, mais aussi, l'un des principaux défenseurs de nos valeurs les plus autochtones face à l'imposition impérialiste ancestrale de paradigmes étrangers à nos réalités. Hugo Chávez a rompu avec tous les stéréotypes qui avaient caractérisé la classe politique vénézuélienne sous la 4e République. Il a créé une nouvelle façon de communiquer et d'interagir avec le peuple muni par la Révolution de multiples armes pour s'épanouir sur le plan intellectuel et matériel et pour participer à un processus qui lui a donné la capacité de rêver au-delà des acquis, indestructibles et incontestables dans les domaines de l'économie, de l'éducation, de la santé, de l'emploi, du logement, du sport. La Révolution Bolivarienne et Chaviste a restitué pour toujours la tradition historique et culturelle vénézuélienne ; le legs des grands hommes de nos guerres d'indépendance et il les a incorporés à un projet libertaire et anti-impérialiste à portée régionale en plein 21e siècle ».