Dans son intervention devant la 25e session de cet organe, Adriana Pérez a rappelé qu'en 1998, de même que son époux, Ramón Labañino, Antonio Guerrero, René González et Fernando González ont été arrêtés.
Adriana Pérez a ajouté que le Groupe de Travail sur les Détentions Arbitraires de la Commission de l'ONU pour les Droits de l'Homme a conclu, en 2005, que celle des 5 en était une et que, cependant le gouvernement des États-Unis ne les a pas libérés.
L'épouse de Gerardo Hernández a indiqué que le silence persiste au sujet de l'affaire des 5 en dépit des dénonciations réitérées à d'autres forums et malgré les propos tenus par de nombreux chefs d'État, des parlements, des personnalités et des organisations du monde entier.