La télévision nationale démontre la main de contre-révolutionnaires de Miami derrière les émeutes du mois dernier

Édité par Francisco Rodríguez Aranega
2021-08-05 11:35:17

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Le maire de Miami a ouvertement demandé au gouvernement fédéral des États-Unis de lancer une intervention militaire à Cuba. Photo tirée de canalcaribe.

La Havane, 5 août, (RHC)- La télévision cubaine a montré dans un reportage les liens entre les organisations contre-révolutionnaires basées à l'étranger et les individus qui ont troublé l’ordre dans divers points de notre pays les 11 et 12 juillet.

Les enquêtes sur les actes de vandalisme du mois dernier en ont révélé les connexions. Le reportage de la télévision nationale a montré les témoignages de Cubains qui ont reçu l'ordre de commettre des actes terroristes, tels que le lancement de cocktails Molotov, et d'attaquer les forces de l'ordre.

Ces instigations se sont accompagnées d'appels lancés par des personnalités politiques notamment de Miami en faveur d'une intervention dirigée par les États-Unis sur l'île, de l'envoi présumé de vedettes et d'autres navires vers le territoire des Caraïbes, et il y a même eu des annonces d'une infiltration militaire dans l'Ouest.

La source a souligné que les événements du mois dernier témoignent d'une analyse minutieuse du contexte socio-économique, marqué par un nombre élevé d'infections de Covid-19, des interruptions du service d’électricité dues à des défaillances du système national et les effets de l'intensification de la guerre économique contre Cuba.

Le reportage a révélé que quelques semaines auparavant, Orlando Gutiérrez-Boronat, ayant des liens avec le terrorisme et dirigeant de l'organisation contre-révolutionnaire Directorio Democrático Cubano, et l'ancien député cubano-américain Lincoln Díaz-Balart se sont réunis pour évaluer les actions à mener jusqu'en décembre prochain afin de déstabiliser le gouvernement antillais.

Leurs idées, indique le matériel, sont basées sur la réalisation d'actions visant à «sauver les pays sous régime communiste».

Le matériel a montré que différentes associations ont envoyé à leurs adeptes un manuel de mouvement de désobéissance civile, qui expose les étapes à suivre pour renverser la Révolution sur la base d'études réalisées dans d'autres nations, et qui est accompagné d'une opération politique et de communication.

Ainsi, en quelques heures, la matrice d'opinion de la crise humanitaire a été supplantée par une supposée demande de libertés, un élément amplifié par différentes plateformes pour refléter la prétendue «explosion sociale», souligne le rapport.

Les autorités de La Havane ont accusé les États-Unis et les médias de manipuler les images à des fins politiques et de dénaturer les contenus, et ont reproché au gouvernement nord-américain d'être directement impliqué dans les incidents du 11 juillet.

Source: CubaSI



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