La gauche mondiale soutient Cuba au Mexique et condamne le blocus américain

Édité par Reynaldo Henquen
2021-10-24 02:03:26

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Mexique, 23 octobre (RHC) La gauche mondiale, représentée par plus de 130 dirigeants de 45 pays, a  soutenu aujourd’hui la Révolution cubaine et a condamné le blocus des États-Unis, lors d’un séminaire international du Parti du Travail du Mexique.

Lors de la clôture du XXVe Séminaire international « Les partis et une nouvelle société », placé sous les auspices du Parti du travail du Mexique, une résolution de soutien à la lutte héroïque du peuple cubain contre les agressions systématiques depuis les États-Unis et à sa résistance historique à un blocus économique de 60 ans, le plus long jamais enregistré contre un pays, a été adoptée.

La résolution a été suivie d’un appel du Réseau continental latino-américain et caribéen de solidarité à participer à la journée Le Monde contre le blocus à Cuba, du 15 au 17 novembre prochains, qui a été approuvée à l’unanimité.

L’appel est à de mener diverses activités de soutien à l’île et contre la politique criminelle et les plans d’invasion du gouvernement des États-Unis.

Après trois jours de débat, le séminaire, qui se tient depuis 25 ans, a émis 15 résolutions à la suite de l’analyse d’un ordre du jour très vaste, centré sur trois questions d’actualité.

Conjoncture de l’Amérique latine et des Caraïbes. Agression et ingérence impérialistes et résistances sociales et politiques. Nouveau redimensionnement géopolitique et géoéconomique mondial. Crise du néolibéralisme, chacun avec de nombreux chapitres.

Ces résolutions ont porté sur les cas de la Palestine et les agressions d’Israël, la violation des accords de paix en Colombie, la situation sahraouie, les actions de la droite contre le gouvernement péruvien de Pedro Castillo, une autre de l’actualité vénézuélienne, une sur le cas colonial de Porto Rico et les prisonniers politiques au Chili, entre autres.

La date de la XXVIe édition du séminaire a également été approuvée pour les 6, 7 et 8 octobre 2022 ainsi que l’ordre du jour qui traitera de la démocratie et du pouvoir populaire, de la redéfinition géopolitique et économique et de plusieurs sous-thèmes, avec la même structure que celle qui vient de s’achever.

C’est l’ancien président du Honduras, Manuel Zelaya, qui a prononcé le discours de clôture. Il a relevé que le blocus imposé à Cuba était une honte du modèle économique mondial et que tant qu’il existera, il ne sera pas possible de parler de changement dans le monde.

Source Prensa Latina

               



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