La Havane, 1er septembre (RHC-Granma) Le leader historique de la Révolution cubaine, Fidel Castro, a plaidé pour une véritable société des nations, qui respecterait les droits, les croyances, la culture, les technologies et les ressources de tous les peuples du monde. Dans un article publié aujourd'hui par le quotidien Granma, Fidel Castro rappelle que l'homme n'a pas le droit de détruire des villes, d'assassiner des enfants, de semer la terreur, la faim et la mort, autant d'actes injustifiables que le leader révolutionnaire attribue à des pays impérialistes et hégémoniques comme les États-Unis.
Fidel Castro demande, dans cet article, s'il ne serait pas beaucoup plus juste que tous ceux qui aujourd'hui, communiquent d'un bout à l'autre de la planète en quelques fractions de seconde, voient chez les autres un ami ou un frère, et non pas un ennemi disposé à l'exterminer.
Fidel Castro évoque les espoirs que la création des Nations Unies avaient nourris à l'époque et déplore que ce soit le sentiment d'avoir été trompé qui domine aujourd'hui , alors que des signes laissent entrevoir la possibilité du déclenchement d'une guerre avec des armes qui pourraient mettre fin à l'existence humaine.
Le leader révolutionnaire plaide dans son article pour des initiatives permettant de planifier le développement de la productivité, de prolonger la vie, d'améliorer la santé et de développer la culture et les valeurs humaines. Fidel Castro a conclu son article en soulignant la nécessité du triomphe des idées justes pour éviter la victoire du désastre.