La Havane, 5 janvier (RHC) Le leader de la Révolution cubaine, le général d'armée Raúl Castro, a félicité vendredi les combattants de la Police Nationale Révolutionnaire (PNR), à l'occasion du 65e anniversaire de la fondation de cette institution.
Dans une lettre, il a souligné que les membres de la PNR sont les continuateurs légitimes de ceux qui ont entrepris la mission sacrée de garantir l'ordre intérieur, la tranquillité publique et la défense des acquis de la Révolution.
Le dirigeant a ajouté que les calomnies et les plans de l'ennemi se heurteront toujours à l'exemple, au sacrifice, au dévouement et au respect du peuple dont font preuve les membres du PNR.
La célébration centrale de l'anniversaire a été dirigée par le président de la République, Miguel Díaz-Canel, qui a déclaré que dans tous les moments difficiles, mais aussi dans les moments glorieux, la nation a toujours compté sur la participation ferme et déterminée des policiers.
Le chef de l'État a ajouté que face à l'empire le plus puissant de la planète, qui se montre de plus en plus agressif à l'égard de l'île, les agents de la PNR ont, à tout moment, assuré la stabilité de Cuba.
Outre la tâche titanesque de tenir à distance le Goliath du Nord, M. Díaz-Canel a souligné que l'institution a fait de la lutte contre la criminalité sa raison d'être, ce qui nécessite aujourd'hui une énergie renouvelée pour faire face à toutes sortes d'événements susceptibles de menacer le projet social.
Il a assuré que les forces de l'ordre du pays sont confrontées jour et nuit à des délits de toutes sortes, à la corruption, à la drogue et à la prostitution, au vol, à l'indiscipline sociale, à la traite des êtres humains, à la violence de genre, à la vente illégale de stupéfiants, aux troubles de l'ordre public, parmi tant d'autres événements qui exigent un grand dévouement et un grand courage.
Lors de la cérémonie du 65e anniversaire, le PNR a reçu la reconnaissance de différentes organisations cubaines telles que les Forces armées révolutionnaires, la Centrale des travailleurs, la Fédération des femmes, l'Union des jeunes communistes, les Comités de défense de la révolution et l'Association des combattants (Source : Prensa Latina).