Dans un article intitulé « Ce qui ne pourra jamais être oublié », Fidel Castro fait référence à un article paru dans l'édition dominicale sur Internet de ce quotidien étasunien sous le titre « Il est temps d'en finir avec l'embargo contre Cuba ». Ce quotidien donne sa vision sur la politique que devrait assumer Washington au sujet de Cuba.
Fidel souligne avec ironie qu'admettre que Cuba a l'une des sociétés les plus cultivées de l'hémisphère est une reconnaissance.
Le leader révolutionnaire se demande pourquoi ce quotidien ne dit pas clairement qu'elle ne ressemble point à celle que nous a légué Jarry Truman lorsque son allié, le grand pilleur du trésor public, Fulgencio Batista a pris d'assaut le pouvoir le 10 mars 1952, 10 jours à peine avant les élections générales.