Managua, 27 novembre (RHC).- L'antiterroriste cubain Fernando González a relevé à Managua, la capitale nicaraguayenne, la nécessité de multiplier les efforts pour faire parvenir au gouvernement des États-Unis la clameur mondiale pour la libération de ses camarades prisonniers dans ce pays.
Fernando González a relevé que la libération de Gerardo Hernández, Ramón Labañino et Antonio Guerrero est entre les mains du président étasunien, Barack Obama.
Fernando González, qui est également vice-président de l'ICAP, l'Institut Cubain d'Amitié avec les Peuples a signalé que si le gouvernement des États-Unis atteignait ses buts, Gerardo ne rentrerait jamais à Cuba car ses peines consistent en deux perpétuités plus 15 ans de prison.
Fernando González a réaffirmé que les personnes de bonne volonté du monde n'accepteront jamais que Gerardo meure en prison sans pouvoir rentrer aux côtés de ses proches et de son peuple.