Il a fait référence, en particulier, à l’implication de Rocío San Miguel, de l'ONG Control Ciudadano, dans l'opération terroriste qui avait pour but d’attenter à la vie du gouverneur de l’État de Tachira, Freddy Bernal, et d'initier une escalade d'actes terroristes jusqu'à l'attentat contre le président Nicolas Maduro".
Il a montré à la presse plusieurs documents prouvant la complicité de Rocío San Miguel dans le complot et des cartes indiquant les coordonnées des installations militaires autour de Caracas qui lui ont été prises lors de son arrestation.
"Nous avons trouvé des preuves de la préparation de listes et de profils des commandants militaires du pays ; et d'après ses communications, il est clair qu'elle possède des listes de tout le personnel militaire.
Il a énuméré d’autres actions de Rocío San Miguel qui l'éloignent de son profil de prétendue défenseuse des droits de l'homme, parmi lesquelles la remise d'informations sur les capacités militaires du Venezuela à un ambassadeur d'une puissance européenne et la réception d'argent d'une compagnie pétrolière transnationale, entre autres.
Source : TeleSur
