Le chef d'État colombien a souligné la symbolique de la réunion dans ce site du patrimoine mondial, à l'heure où toute vie est remise en question par un système économique qui continue d'émettre des gaz à effet de serre.
«Pour faire face à la crise climatique, l'Amérique latine doit s'unir, avoir une voix commune dans le monde », a souligné le président colombien.
Gustavo Petro a déclaré qu’ils ont également abordé des questions liées à l'articulation des deux pays dans la lutte contre le trafic de stupéfiants.
«Il nous appartient de sauver la société, la politique, les institutions, la culture et la nature d'une activité prédatrice», a-t-il souligné.
Il a également expliqué qu'ils ont parlé de la frontière commune, le fleuve Mataje, et de la possibilité que cette région contiguë, au lieu d'être un carrefour pour le commerce illicite d'armes et d'autres produits, soit un espace de légalité qui permette aux deux peuples de prospérer.
Pour sa part, le président équatorien a remercié
Poursuivons cette bonne relation, car elle sera bénéfique pour nous, pour la région et pour nos peuples », a conclu M. Noboa.
Source : Prensa Latina